Oliive <3

I/Identité

Nom : Evans
Prénom : Olivia
Surnom : Olive, Ol’, O’, vivi, ..
Âge : 24 ans
Lieu & date de naissance : Née à New-York un cinq novembre
Profession : Etudiante en médecine


II/ More About Her ..

Pouvoirs : Contrôle de l'électricité & elle peut voir le passé de quelqu’un ou de quelque chose en le touchant.

Caractère : A travers les épreuves que la vie a dressé sur son chemin, la jeune femme a appris à faire la part des choses, à se protéger contre toute blessure morale, un masque d'impassibilité qui la protège des regards gênant que le monde peut porter sur elle ainsi que les jugements trop hâtifs. Elle paraît aux premiers abords être quelqu'un de distant mais une fois que l'on commence à parler avec elle, on se rend compte de la gentillesse et de la douceur de la demoiselle. Ce n'est pas vraiment une grande gueule, elle dit les choses quand il faut les dire et se tait quand il le faut. Réfléchie et posée, la jeune femme n'agît que rarement sur un coup de tête, c'est une personne mystérieuse, discrète, peu de gens savent tout sur son passé car elle n'aime pas se confier, elle préfère être celle à qui on se confie que celle qui se confie. On peut la qualifier de légèrement lunatique à cause de toutes ces choses qui lui sont arrivées et qui lui arrivent encore. Quand elle parle, les gens se taisent, elle passe pour la voix de la jeunesse de son groupe d'amie, son coeur est immense et ouvert à tous. Et oui, Olivia a le chic pour trouver la plus petite qualité qu'il y a à trouver et même dans la plus mauvaise des personnes. Il est impossible de savoir à quoi elle pense tellement sa personnalité est complexe à cerner. C'est aussi quelqu'un de volontaire, de fort. Son caractère bien trempé, et son dégout pour l'injustice lui attire souvent de gros ennuis. Courageuse et déterminée, elle a toujours été décrite comme une personne battante, ce n'était pas vraiment les têtes de groupe, une leadeuse, car elle n'aime pas diriger, mais il lui arrivait souvent de prendre les choses en mains quand telle ou telle chose arrivait. Elle n'est pas vraiment timide, elle ne va seulement pas vers les gens et les laissent venir à elle. Les personnes qui l'approchent de près ou de loin sont souvent intriguées par ce caractère étrange ..

Liens : Aucun pour le moment sauf si quelqu’un le souhaite !

Signes particuliers :
- La demoiselle ne contrôle pas très bien son deuxième pouvoir. Pour l’instant, quand elle voit le passé de quelqu’un ou de quelque chose, ce ne sont encore que des flashes accompagnés de forte migraine. Souvent ces flash s’impriment en elle et font en sorte qu’elle a de terribles cauchemars. Elle dort d’ailleurs seule car elle sait très bien qu’il arrive qu’elle se mette à crier sans même qu’elle ne s’en rende compte. Fort heureusement, elle dort très peu, personne ne sait comment elle fait pour toujours avoir cette énergie avec les quelques heures de sommeils dont elle a besoin.

- Son passé lui donne, lui aussi, souvent des cauchemars qui se mêlent aux bribes de passé des personnes avec qui elle est en contact.

- Olivia est une excellente musicienne, elle joue du piano et de la guitare et chante à merveille bien qu’elle ne le dise pas à tout le monde. En effet, elle veut garder cela pour elle, la jeune femme s’est toujours réfugiée dans la musique quand cela n’allait pas, son père lui n’aimait pas qu’elle joue sur le vieux piano du grenier mais elle transgressait la règle, surement une des seule qu’elle ait jamais transgressé à dire vrai.

III/Le reste

Vous : Heuu ? Que diiire =D Que j’essaye de venir un maximum =] Que je me suis inscrite sur ce fow exeptionnellement car je le trouvais tellement magnifique que je pouvais pas passer à coté

Avatar : Sophia Bush

IV/Histoire


Parce que toute chose a un début, parce que tout commence quelque part, à une certaine époque. Dans cette grande maison, cette maison sombre et lugubre, le passé me rattrape, mes erreurs et mes malheurs se font plus ressentir encore, il est temps pour moi d’avouer mes péchés. Surtout une envie soudaine de laisser une petite trace sur terre avant qu’il ne soit trop tard. Sans aucune pudeur ni aucune retenue, je te dévoilerai qui j’ai été, et qui je suis, les plus sombres secrets de mon existence et de mon passé, ceux dont personnes n’a idée, oui toi journal tu seras témoin de cette vie qui a été la mienne et de tous les évènements qui pourraient m’arriver ici. Pourquoi ai-je l’intuition que la vie à Rose Red ne sera pas de tout repos ? Peut-être simplement car ma vie toute entière ne l’a jamais été et que à chaque coin de rue je m’attendais à ce qu’un malheur ne me tombe dessus .. Tu es curieux petit journal, n’est-ce pas ? Ne veux-tu donc pas savoir de quels malheurs je peux bien parler .. Tout simplement de ces malheurs qui ont fait de ma vie ce qu’elle a été, ceux qui m’ont aidé à m’endurcir et à m’éloigner du genre humain. Ces mêmes malheurs qui m’ont privé de ma famille et de la plus part des gens qui m’entouraient ..

Ma vie débute de la plus banale des manières, mes parents possédaient un petit appartement tout à fait correcte à New-York, c’est dans ce même appartement que ma mère mis au monde son premier enfant, moi, et son deuxième enfant, mon petit frère. L’ambulance n’arriva jamais à temps pour l’emmener à l’hôpital mais tout se passa très bien dans les deux cas. Mon frère et moi avons deux ans d’écart, bien sur lui était le petit prince aimé de tous et mignon comme un ange alors que moi je n’étais que la méchante qui pleurait tout le temps et qui ne faisait jamais rien de bien. Le vilain petit canard en somme. Peut-être que tu trouves que tout cela fait un parfait cliché, mais que veux-tu, on ne choisit pas sa vie. Ma vie se passa ainsi pendant cinq ans. Cinq ans durant lesquels je fus traitée comme une moins qui rien, cinq ans où l’on me fit bien comprendre que ma venue n’était en aucun cas voulue et que je n’aurait jamais du être ce que j’étais. Mes deux parents voulaient un garçon absolument, un garçon et rien d’autre. Pas de chance ils m’ont eu. C’est ce qui explique leur ravissement et leur bonheur lorsque mon petit frère a pointé le bout de son nez. Il m’était interdit de l’approcher de près ou de loin, ils avaient peur que je lui fasse mal au pauvre petit chou, ils se foutaient pas mal de savoir ce que moi je ressentais. Si je pleurais un peu trop, il leur arrivait d’être à bout et de me coller une baffe pour me calmer. Souvent j’étais envoyée dans ma chambre et laissée de coté. Le dîner ne se faisait jamais en ma présence. On me donnait quelque chose à part, on me mettait dans la cuisine avec une nounou car aucun de mes deux parents ne voulaient s’occuper de moi. Je crois que ma nounou était la seule personne à réellement m’aimer à cette époque. Bien sur mes parents me reprochaient de leur couter en frais supplémentaire à cause de cette femme qu’ils engageaient pour moi. C’est ainsi que se passa la majeur partie de mon enfance, dans l’indifférence et le mépris. Je n’avais pas de grands parents, ou du moins c’est ce qu’on m’avait toujours dit, qu’ils étaient tous les deux morts longtemps auparavant – ce n’est que par après que j’appris le conflit qui opposait mes parents aux leurs – tout ceci continua jusqu’à ce que j’atteignis mes dix ans. Après ce fut pire. Je fus souvent laissée seule chez moi, mes parents avaient remercié et renvoyé ma nourrice jugeant que j’étais assez grande pour me débrouiller seule. Je haïssais ce petit frère à la vie doré et le méprisait. J’avais aussi pitié de lui, moi qui était svelte et de plus en plus jolie, lui qui s’enlaidissait et grossissait d’année en année à cause de toutes les gâteries que mes parents lui donnaient. C’était un enfant capricieux et égoïste. Ce n’est qu’à partir de cette année là que le vrai cauchemar commença ..
Mon père se mit à s’intéresser à moi mais dans le mauvais sens, il voyait bien que je grandissais, que je devenais plus jolie. Ma mère elle était si attachée à mon petit frère qu’elle ne remarqua même pas que son mari ne la regardait même plus. J’étais jeune mais intelligente, je savais que mon père allait voir ailleurs, ma mère elle me faisait faire une grande partie des corvées, cela lui permettait d’économiser en bonne et autre. Avec l’argent économisé elle s’offrait des vêtements plus cher, plus de chose pour le petit ange. L’école était mon seul échappatoire, j’étais brillante, bosseuse. J’aimais aller à l’école, m’enfuir de cet appartement qui depuis dix ans me retenait comme prisonnière. Ma mère me donnait toujours la permission d’aller chez des amies, et le plus longtemps possible de préférence, ainsi elle pouvait ne pas me voir pendant plusieurs jours, j’étais heureuse et elle aussi. Je me souviens encore de cette amie qui possédait ce magnifique piano, elle m’apprit les bases et je me révélai être assez douée pour cet instrument étrange et imposant. J’avais douze ans quand j’eus le courage d’affronter mon père pour lui demander d’acheter un piano. Il céda et m’en offrit un sous condition que j’y joues quand j’étais seule à la maison. Je ne m’attendais pas à ce qu’il demande quelque chose en retour, mais c’est ce qu’il fit. En effet, j’étais fort en avance sur mon âge, j’avais déjà de la poitrine, des hanches, j’étais déjà grande, plus grande que la moyenne. Les garçons me donnaient quatorze-quinze ans et se mirent à me regarder différemment que comme la petite renfermée et presque muette. Mon père me toucha pour la première fois au milieu de l’année, je revenais de l’école. Je fus d’ailleurs surprise de le voir à la maison, lui qui ne rentrait jamais avant huit ou neuf heures. Il m’emmena dans ma chambre, me parla doucement, me dit qu’à mon tour je devais lui offrir un petit quelque chose. Bien sur j’étais terrifiée, bien sur je ne savais pas dire un mot. Je le laissai faire. Ma mère ne remarqua même pas mes yeux gonflés et mes joues rouges. Elle ne remarqua pas mon silence et mes sursauts lorsqu’on me parlait. Je me souviens encore de ce jour, du dîner de ce soir-là (des pâtes bolognaises). Cela faisait quelques temps pourtant que ma famille avait accepté ma présence à table. Elle n’avait d’yeux que pour ce petit frère idiot qui souriait bêtement et qui s’empiffrait. Mes poings étaient serrés sur ma jupe d’écolière. Je ne touchai pas à mon assiette ce soir là et partis me coucher. Le lendemain on me laissa seule avec mon frère, c’était un samedi. Mon père allait ‘’jouer au golf’’ et ma mère faire une heure de yoga et une heure d’entrainement physique. J’étais donc seule avec mon frère. Celui-ci s’installa devant la tv, comme à son habitude. Je l’observais, je ne comprenais d’ailleurs pas ce que ma mère lui trouvait de si génial. Il tourna la tête et se mit à m’observer et me sourit ironiquement avant de me dire que je ne pouvais pas regarder la tv et que je devais passer la journée dans ma chambre. Je n’étais encore qu’une enfant à l’époque et cette remarque me fit beaucoup de mal. Je l’observai méchamment, il me sourit encore plus ironiquement. Et sans comprendre vraiment ce que je faisais je me jetai sur lui quand un éclair bleuâtre sortit de la paume de ma main et vint le frapper droit au cœur. Je pris peur, je m’écartai violemment du corps inerte de mon frère avant de sortir en courant de l’appartement. Je n’avais rien sur moi, ni argent, ni sac, rien. J’errai plusieurs semaines durant. Je vis beaucoup d’affichette à propos de personne disparue, mais jamais rien sur moi, je pus lire aussi la mort mystérieuse de mon frère, dans les journaux que je lus (grâce aux passants qui les jetaient) je vis que jamais mon nom n’était mentionné. Un jour je me rendis dans un centre pour jeune où je rencontrai une jeune dame qui me prit en charge. Elle me trouva une famille d’accueil, c’est là que commencèrent les jours heureux enfin. Mais ces deux personnes étaient vieilles, elles moururent avant que j’atteigne ma majorité. Je dus aller dans un fouiller pendant deux ans où je finis mes études. La famille qui m’avait accueillie était très riche et m’avait légué toute sa fortune. Mes années de fouiller furent assez dures et pénibles pour moi. Les autres me persécutaient légèrement parce que je ne parlais pas ou peu, ils me trouvaient bizarre avec mon look un peu grunge et mon regard sombre. Cependant je passai outre cela, je ne faisais pas attention ni à ce qu’ils disaient de moi ni à toutes ces choses que je voyais et tous ces cauchemars qui revenaient chaque nuit. Ce cauchemar qui aujourd’hui encore me pourrit l’existence. Je revois ce même flash bleuâtre transpercer la poitrine de mon frère, flash qui ne s’était plus reproduit jusque là, je me vois courir et tomber dans une grande falaise et agoniser lentement sans que personne ne m’aide.
Quand enfin j’eus dix huit ans, je quittai ce centre et commençai une nouvelle vie, vie simple et banale jusqu’à il y a récemment. Le flash revint alors que je me faisais agresser dans la rue par un voleur qui en voulait à mon argent, je ne le fis pas exprès mais il vola plusieurs mètre plus loin. De plus, à chaque fois que je touchais un objet ou une personne, je voyais des images dans ma tête, des images concernant l’objet ou la personne. C’était inexplicable et j’avais l’impression que personne ne pouvait me comprendre. Je rencontrai alors Luke. C’était un des seuls garçons de mes cours que je laissai m’approcher et apprendre à me connaître. Il me redonna confiance en moi durant les deux dernières années. C’était, et c’est toujours, un ami très proche à qui je tiens énormément. Il m’apprit à contrôler mon don au flash bleu, par la suite il m’apprit que lui aussi subissait de drôles de choses, des choses surnaturels. Il y a quelque mois, un professeur de renom m’appela et me demanda son aide. Elle m’apprit qu’elle était au courant à propos de ces choses qui m’arrivaient et qui arrivaient à Luke, elle me demanda mon aide en échange de la sienne, j’acceptai immédiatement sans vraiment réfléchir et me fonçai dans se projet tête baissée, chose assez inhabituel je dois l’admettre. Luke me suivit sans aucune hésitation dans ce qu’il appel ‘’cette aventure’’ ..

Merciii à touus <3

Ca a été long mais je pense avoir fiinii