Déjà perdue. [Libre à TOUS]

[Pas terrible desolé :s]

Mitigé. Voilà comment était l'humeur de Rebecca à se moment précis. Elle était à la fois excitée de participer au projet Rose Red car elle allait découvrir des choses mais surtout rencontrer des gens à part...Des gens comme elle. Rebecca avait souffert de sa découverte de son pouvoir. Longtemps elle avait cru être un monstre, heureusement, aujourd'hui elle savait faire la part des choses. Mais Rebecca était également agacée. Cette maison l'effrayait un peu et il faut dire que dans le genre courageuse, elle n'était pas la première à se dévouer pour défendre les autres. Nan, elle était plutôt du genre à se cacher derrière tout le monde. Si sii, la petite là bas, derrière le fauteuil xD. Bon parfois, dans des élans de folies, elle osait faire la courageuse pour prouver à tout le monde qu'elle l'était mais loin de là, soyez en certains. Là, elle ne voulait rien prouver à personne et pourtant elle était seule. Folle ? Sûrement mais la question n'était pas là. Rebecca c'était tout simplement perdu. Car oui, elle était monté en hâte a l'étage pour déposer ses valises dans l'une des chambres et en voulant redescendre avec le groupe elle c'était retrouver paumé. Personne ne pouvait réellement savoir la crainte qui c'était inséré en elle à ce moment pour prendre totalement possession du corps de la frêle Reb. La brunette tremblait s'en même s'en rendre compte. Cela lui rappelait un rêve étrange où elle était dans une maison du même genre mais que tout à coup, surgissait d'un coin sombre un affreux clown qui voulait la tuer. Comme un bon nombre de personnes, elle avait était traumatisé par le film "Il es revenu" d'ou sa crainte maladive pour les clown. Rebecca regarda tout autours d'elle. Il faisait sombre et elle détestait ça. Sa lampe torche en main et allumé se mit a clignotait. Rebecca se mordit intérieurement la lèvre inférieure. Tout un tas d'injures lui traversèrent l'esprit envers cette lampe, Joyce machin (flemme de regarder le nom dans les predefs (a)] et même les gens dotés de pouvoirs qui se trouvaient au Hall ou a l'étage aux chambres. Et dire qu'il y à de ça quelque minutes seulement, le professeur Joyce leurs avait dit de ne pas rester seul. Rebecca qui avançait doucement transit par la peur poussa une porte et c'est à sa grande surprise qu'elle découvrit la cuisine. Elle était plutôt grande et les meubles anciens d'une rare beautés. Dommage qu'il n'y est pas de fenêtre, elle se serait empressé d'aller l'ouvrir parce que pour être franche, l'odeur qui régnait dans cette pièce était tout simplement écœurante. Rebecca s'engouffra de quelque pas dans la pièce tout en l'examinant de près avec sa lampe torche. Elle essaya de se rassurer tant bien que mal et c'est avec une voix coupé qui se voulait rassurante qu'elle se déclara à elle même :

" Après tout, que peux-t-il m'arriver dans une cuisine ? Allez Rebecca, bon sang reprends toi quoi ! "
*A part qu'une enfant a disparut ici, il n'y a rien de grave. Enfin si, il y a des gros couteaux de boucher. Maman j'ai peur..*

Au même moment, un fracas suivit d’un bruit sourd dans la salle du dessus se fit entendre. Comme si un corps était tombé à même le sol. Rebecca avala nerveusement et difficilement sa salive tout en frissonnant. Bon dieu, il fallait qu'elle trouve quelqu'un, hors de question de rester seule...

Rebecca, les yeux levés vers le plafond soupira bruyamment. Pourquoi est-ce qu’elle avait accepté déjà ? Ah oui parce qu’elle pensait que c’était une bonne idée. Il fallait qu’elle se rappelle à l’avenir de ne plus mais alors plus du tout faire confiance à son instinct. Faut dire, a chaque fois que Rebecca c’était fait confiance, le résultat n’avait pas été fort prodigieux. Pas de quoi être fière je vous assure. La brunette était peut être un peu trop impulsive, tellement, qu’il lui arrivait de aire des choses qu’elle regrettait au moment ou elle les faisait parce qu’elle se rendait seulement compte a ce moment que sa craignait. Dommage qu’elle n’avait pas assez de recul pour ça. En même temps, c’est comme ça que tout le monde l’aime nan ? La lampe de Rebecca se remit a clignotait dangereusement comme si elle allait vraiment s’éteindre et c’est en tapant dessus que Rebecouette réussit a la rallumer. Si Rebecca détestait le noir, il ne fallait pas compter a ce qu’elle reste dans un endroit aussi sombre sans lumière parce que c’était tout simplement impossible et inacceptable pour elle. Elle se sentait mal à l’aise ici, comme si un sentiment mauvais la suivait a longueur de journée. Cette sensation que l’on a lorsque quelque chose nous préoccupe et qu’on se sait pas quoi faire. Et dites vous bien que c’était pire, oui pire, elle n’arrivait pas a mettre un mot sur la cause de son mal être.

Rebecca éclaira les murs pour chercher la porte d’entrer qu’elle venait d’ouvrir il y a quelques secondes. Becca avait beau chercher, elle avait l’impression que celle-ci avait changé de place ou alors elle déliré. Elle opta pour la seconde proposition. Franchement, elle détestait ce château, elle détestait cette cuisine, elle détestait cette poussière puis elle détestait aussi cette table tiens, elle était beaucoup trop grande ! Cela ramena à la surface un très bon souvenir de Reb. Lorsqu’elle était enfant et qu’elle était partie dans un restaurant chic avec ses parents. La table était carrément gigantesque par rapport a elle et le personnel lui avait ramené des coussins pour que la brunette puisse arriver a la hauteur des plats qui allait être servi. En y repensant, elle de demandait bien d’où il avait bien pu sortir ces coussins. Un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’il y a deux secondes elle était en train de se demander ou est-ce qu’elle pourrait trouver quelqu’un au plus vite, tant elle avait peur. Rebecouette posa sa veste qu’elle avait sûrement dut payer une fortune (merci papa) sur le dossier de l’une des chaise sans faire attention a toute la poussière qui c’était envolé au même moment et juste quelques seconde elle entendit le fameux : « tu veux jouer avec moi ». Rebecca se figea, elle ne bougea pas. Elle ferma ses yeux et commença a répéter a toute vitesse comme elle le faisait si souvent enfant alors qu’elle pensait qu’un monstre se cacher dans son placard.

" Rebecca tu rêves, Rebecca tu rêves, Rebecca tu rêves, Rebecca tu rêves rêves rêves rêves rêves. Souffle ! Maintenant ouvre les yeux ! "

C’est assez courant pour Rebecca de parler toute seule. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle était folle. Enfin si, tout le monde l’était de toute façon, elle l’était aussi a sa manière, mais pas complètement atteinte malgré ce que l’on aurait put croire. Rebecca fit volte face et elle vit un fantôme. Un spectre qui avait prit la forme d’une enfant ou qui était une enfant, elle n’en savait trop rien. Rebecca réagit brutalement en hurlant. Cette enfant au teint laiteux, sa tête incliné ne lui inspiré guerre et pourtant, son regards, les traits de son visage, tout laisser à penser qu’elle devait être adorable et très obéissante.

" AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! Un fantôme ! "

Rebecca vraiment persuadé que c’était encore un tour de son imagination referma les yeux pour se calmer. En une seconde, elle avait eut des palpitations au cœur, elle avait sentit son contre battre à tout rompre contre sa poitrine et surtout la peur c’était saisi d’elle. Non pas la peur que l’on a lorsqu’on regarde deux trois film bidon d’horreur, la vraie peur. Rebecca avait l’impression que son estomac faisait des loopings. Elle rouvrit les yeux et vit April, toujours dans la même position en train d’attendre. Sa réaction était peut être stupide et idiote, mais Rebecca était effrayer et ne savait pas quoi faire. Et vous savez combien il est dur de faire des choses cohérentes lorsqu’on a peur. La brunette courue se réfugier derrière la grande table qui tout d’un coup venait de prendre un peu plus de valeur à ses yeux. La lampe était dessus, il fallait qu’elle s’en saisisse parce que sans…Elle avait limite envie de pleurer.

Non, elle avait déjà tourné par là.

Kimberly avait trouvé une parfaite petite chambrée au troisième étage, grande, sombre, un lit merveilleux : l'obscurité qui donnait sur l'une des terrasses du jardin lui convenait parfaitement. Son humeur exécrable l'aveuglait et le danger qu'elle aurait bien pu rencontrer ne lui avait même pas effleuré l'esprit une seule seconde avant d’arriver dans la chambre à coucher. Tant pis! Zachary n'avait qu'à la suivre. C'était tout de même incroyable, il l'avait plantée là... Kimberly se jeta des fleurs intérieurement.

' Tu as bien fait, Kimmy... Les femmes ne sont plus les chiens des hommes, je ne suis pas celui de Zachary... '

Cela faisait une dizaine de minutes qu'elle avait commencer à pester dans la pièce que déjà, elle regrettait. Que ressentait-il à cet instant? Etait-il triste lui aussi? Se sentait-il trahi par elle? Là était peut-être la plus grande crainte de Kimberly. Qu'elle soit considérée comme un traître. Les autres avaient le droit de l'être, les autres pouvaient se le permettre. Mais elle, elle était bien trop cassée psychologiquement pour pouvoir supporter une nouvelle fois d'être reléguer au rang de commise, au rang des seconds choix.

Et si il était encore avec cette fille? Cette pensée la remit dans un état de folie et elle se décida de sortir de la chambre avant de ne détruire tout le mobilier présent dans la pièce. Trois vases avaient été disposés contre les murs et la tentation croissait au fur et à mesure que le temps passait. Si elle restait dans la chambre, à se morfondre ou à se quereller contre une présence invisible, elle allait forcément détruire les superbes oeuvres qui étaient dans sa chambre. Oui, valait mieux sortir et partir à l'aventure.

Citation :

Flash Back.

Kimberly avait lancé son verre d'eau contre la porte d'entrée, hystérique. Le son la meurtrie violemment, et elle ne prit même pas garde à l'éclat de verre que son bras avait reçu. L’éclatement du verre l’avait brutalement ramenée à la réalité. Elle regardait étrangement la porte, comme si elle n'en avait jamais vue auparavant. Qu'est-ce que c'était? Que venait-il de se passer? 'Où est-il?' 'Sale petite idiote... Tu l'as jeté dehors!'

Son regard, étonné et apeuré se retourna vers son double, qui croquait avec sévérité dans une pomme bien verte. La Cheerleader, son premier double, semblait peu touchée par cette sensation de froid qui avait été jeté dans l'appartement comme une vulgaire nappe avait été déposée sur le gazon. Ce n'était pourtant pas un évènement aussi joyeux qu'un pique-nique entre amis, entre famille. Elle avait tellement l’habitude de voir Kimberly aussi maladroite que ça pour établir un lien sentimentale entre Zach et elle. Elle déplorait cependant un peu plus Zachary.

-Qu'ai-je fait? Balbutia Kimberly, qui s'approcha de la porte, marchant sur les bouts de verre qui étaient éparpillés sur le sol. Comme si elle était devant un objet saint, Kimberly posa ses mains blanches, tremblantes, contre la porte... Zachary. Où était-il passé? Où était-il partit? Non... Ses pieds la faisaient souffrir, mais pas autant que son cœur.

-Non... Mon Dieu non, pas encore... Un soubresaut, des sanglots. Une enfant. Non. Elle avait mal. Encore. Il était partit, encore. Qu'avait-elle fait? Que lui avait-elle dit? Elle n'était qu'une incapable... Elle pleurait. Elle pleurait. Comme le ballet des cloches de la célèbre église de Notre-Dame de Paris, ses sanglots ne cessaient pas, redoublaient, s'amplifiaient.

-Non... Elle commença sa descente, langoureuse, contre la porte. Elle glissa à terre, repoussant par de violents coups de pieds, coups de mains les derniers éclats qui étaient envoyés dans un coin du hall à présent, et elle laissa son pouvoir faire le reste. Ses blessures se refermèrent. Sauf une, toujours la même, celle qui était à l'intérieur de son coeur.

-Allo? Willy? Oh, Willy, si tu savais...

Oh oui. William savait plus que quiconque. Il savait à quel point Kimberly avait mal, que Kimberly avait encore dit quelque chose de mal à Zachary. Que ce dernier n'avait pas supporté et s'était enfuit. Il savait que Kimberly, au fond d'elle, hurlait à Zach tout l'amour qu'elle lui portait. C'était beaucoup trop violent, beaucoup trop agressif pour qu'il puisse comprendre. Il savait aussi qu'il ne voulait pas comprendre...

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

Ce cri lui avait glacé le sang. Elle s'était stoppée. Avait cessé de chercher son chemin. Qu'est-ce que c'était? Un cochon que l'on égorgeait? Où une femme qui avait soudain prit peur? Qu'avait-elle à perdre? Elle se mit à courir, afin d'essayer de trouver la source du cri, et vérifier que le terrible sursaut qu'elle avait eut n'était pas un leurre de cette foutue maison...

Elle alla doucement d'abord, puis, de plus en plus vite. Elle atterrit, par elle ne savait qu'elle miracle, devant de lourdes portes, au rez-de-chaussée. Etaient présentes dans la pièce déjà deux demoiselles, et elle n'eut même pas le temps de se rendre compte de leur identité qu'elle demanda, presque à bout de souffle.

- Tout va bien?

En voyant la deuxième femme, la blonde, Kimberly reprit contenance. Elle avait l'air réservée, peut-être même avait-elle la personnalité de toute ces filles qui lui avaient fait vivre un cauchemar lorsqu'elle était adolescente. Peut-être pas? Elle regarda l'endroit où elle était tombée et son visage se décomposa. Elle avait l'impression de revivre l'enfer, les flammes, la chaleur qu'elle avait décidé d'affronter par simple bêtise. Sa peau qui brûlait, l'odeur de la calcination des meubles, d'elle-même, de ses cheveux. La pseudo mort de Zachary.

Une cuisine. Oui. Elle était vraiment paumée, dans cette baraque hantée.

[Comparé à vous, les filles, je vais pale figure.... Attention April, la Team RuBerly est là ]

Rebecca n’avait à vrai dire pas vraiment remarqué Ruby lorsqu’elle était entrait dans la cuisine, non pas comme les gens normaux par la porte, mais en traversant le mur. En même temps, dans cette maison, personne n’était vraiment normale n’est-ce pas ? Enfin, personne a part Rebecca bien sur (a). Heureusement que Rebecca avait eut l’occasion d ‘échanger deux mots avec Ruby à l’étage et devant Rose Red parce que sinon, oui, elle l’aurait confondu avec un fantôme. Enfin, il faut dire aussi que traverser les murs ce n’était pas communs. Oh puis mince, rien n’était commun ici !! La brunette resta un moment derrière la table en jetant de temps en temps des regards derrière Ruby qui semblait se délecter du spectacle qui s’offrait a elle, soit Rebecca en train de se ridiculiser. Après ça, à coup sur on allait la prendre pour une folle. Visiblement, le fantôme venait de disparaître. Alors, c’était ou son imagination quelque peu débordante qui lui jouait des tours ou cette maison était hantée. En fait, même si elle se forcer auparavant a ne pas croire a toutes ses histoires bien glauque, la peur était bien présente et là, je vous laisse imaginer l’état dans lequel elle se trouvait. Elle se releva brusquement lorsque Ruby lui posa exactement la même question. Minutes papillon, ce n’était pas elle qui venait de lui faire une blague là ? C’est vrai, elle pouvait très bien avoir un second pouvoir dont elle n’aurait pas parlé à Rebecca. La brunette passa une mains dans ses cheveux et fronça ses sourcils ton en se dirigeant vers Ruby.

Je ne trouve pas ça drôle franchement ! J’aurais du m’en doutait que ça allait arriver. Cette blague est de très mauvais goût ! Un peu comme tes vêtements en fait !

Rebecca toisa Ruby de son plus vilain regard (a). Si il y a bien une chose que miss Andrews détestait, c’était lorsque sa fierté en prenait un coup et là, elle était sincèrement persuadé que c’était Ruby qui lui avait joué un mauvais tour (Miaous <3). Lorsqu’elle le voulait vraiment, finalement elle pouvait être peste, avant elle n’y arrivait pas mais la, elle avait l’impression d’être « rabaisser » par Ruby, c’est pourquoi elle s’était sentie obligé de lui faire une remarque bien cinglante a propos de ses vêtement qui était tout a fait exagéré soit dit en passant. Rebecca tourna le dos a Ruby l’asperge et se dirigea vers la grande table en plein milieu de la salle qu’elle avait eut a peine le temps d’admirer en entrant dans la cuisine. Elle se tourna vers Byby, et repris.

Bon bref, ne fait plus ça franchement. Je déteste déjà toutes les histoires de fantômes alors si tu fait je ne sais quoi pour m’effrayer, ça ne va pas l’faire…

Quel mauvais caractère. Rebecca passa un doigt sur la table sur laquelle il y avait une couche de poussière impressionnante. Elle regarda son doigt un instant et c’est a ce moment qu’une autre blonde entra telle une furie (mais une gentille furie(a)) dans la cuisine. Rebecca sursauta légèrement évidemment, on s’y attendait. Lorsque cette dernière demanda si tout allait bien, Rebecca hocha vigoureusement la tête et déclara.

Oui oui. Tout vas bien. J’ai cru voir un fantôme mais en fait était elle Elle désigna d’un signe de tête Ruby Qui m’avait fait un mauvais coup

Enfin…Elle supposait en tout cas. De toute façon, elle avait employé la même phrase que la pseudo fantôme donc bon, était grillé comme le nez en plein milieu de la figure. Rebecouette s’appuya contre la table en se fichant pas mal de ses vêtements (tout comme sa veste qu’elle avait envoyé precedement dur une chaise). Rebecca avait vraiment du mal avec toute cette poussière et elle pensait qu’un grand ménage ne serait pas de trop. Faut dire, elle allait OBLIGATOIREMENT le faire un jour ou l’autre (et d’ici peu) avec deux ou trois personnes qu’elle aurait embauché parce que était invivable. Elle ne savait même pas se qui se cachait sous toute cette poussière. Elle se demandait même sur quoi elle marchait.

Je ne sais pas pour vous mais cet endroit me donne la chaire de poule. Puis c’est tellement…Sale. Je ne peux pas supporter la poussière. Nan mais je vous jure, Joyce Reardon aurait put faire nettoyer tout ça avant qu’on arrive c’est vraiment de foutre de nous…

Rebecca haussa les épaules comme l’aurait une petite fille en train de raller. Mais le hic était là, Rebecca était bien une jeune femme râleuse. Elle était fille unique et c’état habitué a tout avoir rien qu’en claquant des doigts. Elle avait son confort et si on lui enlevait ce qu’elle considéré comme le strict minimum, elle tapait de très grosse crise de nerfs et là, était le cas. Elle se sentait bouillir de l’intérieur et elle savait que la semaine allait être terriblement longue pour elle. La brunette regarda tout autours d’elle en se mordant intérieurement la lèvre inférieure pour ne pas avoir à continuer son petit spitch qui –si elle continuait- allait partir sur le thème « Joyce ». Elle n’allait quand même pas la descendre en publique…Même si ce n’était pas l’envie qui manquait.

C’est tellement grand ici, et il faut que je tombe sur la cuisine. Heureusement que vous etes ici vous aussi parce que je dois avouer que je suis pas sure que j’aurait retrouvait mon chemin tout seule

Rebecca arrêta enfin de parler. Préférant contempler la splendeur de cette grande et ancienne cuisine. Ses yeux balayèrent la salle cette fois ci beaucoup plus attentivement que la première fois ou elle était entrée. C’était sombre, mais on arrivait quand même a y voir. Elle remarqua meme le grand bocal dans lequel il devait y avoir il y a des années de ça des confiserie ou des gateaux au dessus d’un des meubles. Elle réfléchit un instant, ce demandant si était le moment ou non puis se risqua a demander.

Alors, quel genre de bizarreries etes vous capables de faire?

Bien sur, elle faisait allusion a leurs pouvoirs donc indirectement les siens...



[Je trouve ça vraiment nul desolé :s]

La petite April Rimbauer fixa la jeune femme -avec qui elle aimerait bien jouer- qui se mit à prononcer plusieurs fois cette phrase: "Rebecca tu rêves!". Elle s'appelle donc Rebecca... C'est un joli prénom, et très chic en plus! Mais bon elle a l'air assez spéciale comme fille puisqu'elle s'oblige à croire à autre chose, comme par exemple que April n'est pas réelle mais plutôt un rêve, enfin un cauchemar car il est rare que les fantômes apparaissent dans les rêves. La jeune fille esquissa une moue traduisant son étonnement envers la femme qui se mit à crier comme une délurée, à fermer les yeux, respirer bruyamment pour ensuite ouvrir à nouveau les yeux et aller se réfugier derrière la grande table de la cuisine, apeurée. April fait si peur que sa? Mince, finalement sa ne va pas être facile de se faire des amis parmi les humains s'ils sont effrayés. Et pourtant elle a une bouille assez adorable et qui inspire confiance... enfin, inspirait car le teint laiteux de sa peau lui donne un air de malade grave, sans parler des gros cernes sous les yeux qui ne sont pas à cause de la fatigue mais de son apparence fantôme. Malgré sa, elle est belle. Un visage angélique, des longs cheveux noirs bouclés et soyeux. Mais elle fait peur. Et croyez-moi, sa ne fait pas plaisir de voir quelqu'un s'enfuir de peur devant nous -sauf si on est un petit dur, ce qu'April n'est point du tout-. Elle se mit donc en tête qu'elle embêtera toujours ce petit brin de femme prénommé Rebecca, pas méchamment bien sûr mais histoire de s'amuser un petit peu. Alors que la petite fille se tenait toujours droite avec la tête délicatement penchée, une jeune femme blonde -très jolie aussi et grande par rapport à la mini Rebeccouette (a)- fit son apparition dans la cuisine. Elle adopta la même position qu'April et prononça la même phrase qui avait effrayé la jeune femme toujours cachée derrière la grande table. Ruby est certaine que c'est elle qui a effrayé la petite brune vu qu'elle ne croit pas aux fantômes et que juste avant elle avait tenté d'apeurer Miss Andrews avec un "bouh". Et c'est finalement April qui avait réussi sans le vouloir! La petite Rimbauer décida de disparaître pour ensuite réapparaître dans un coin sombre de la pièce, là où personne ne pourrait la voir. Comme sa elle pourra espionner les jolies madames en secret et écouter des conversations de filles! Sa fait si longtemps qu'elle n'a pas vu des personnes discuter ensembles, des humains. une troisième jeune femme fit son apparition dans la cuisine. Décidément, il va y avoir un rassemblement on dirait! Bon en même temps, Rebecca a certainement alerté toute la population avec son cri strident, elle a carrément irrité les oreilles de la jolie April. Rebecca sortit de sa cachette en disputant la grande fille blonde de lui avoir faire peur. La brunette est sûrement certaine qu'April n'était que le fruit de son imagination. Rah en lui faisant peur, elle va la rendre folle! Mais bon au moins elle s'amusera bien. Alors cet endroit donne la chaire de poule à Andrews? Bon c'est pas étonnant, il est immense, sombre, effrayant, poussiéreux et des fantômes y rôdent et espionnent en cachette! La demeure n'a jamais effrayée la petite Ape, même lorsqu'elle était encore humaine. Elle adorait Rose Red, ainsi que sa poupée Miss Edith -qui lui manque beaucoup-. Elle passait des journées à se balader dans Rose Red afin de voir les transformations, les nouveautés... sa l'amusait beaucoup! C'est sa maison natale et elle y rôdera toujours, jusqu'à la fin de vie de cette maison. Elle observa les trois jeunes femmes discuter, observant tout leurs gestes, leurs réactions, leurs moues, les regards. D'ailleurs, celui de Rebeccouette se posa sur le fameux bocal de confiserie. S'est en essayant d'attraper ce bocal que la petite Rimbauer avait disparu, elle sortit donc de sa cachette, se dirigea vers le meuble et montra du doigt le bocal à Rebecca, pour montrer qu'elle le veut. Évidemment, elle effraya à nouveau la brunette et elle se dépêcha de disparaître à nouveau dans sa cachette pour que les deux blondes ne la remarque pas.

[Désolé c'est vraiment pitoyable mais bon pas facile facile hein de jouer un fantôme au milieu d'humains mdr!]